Est-ce que c’est le mot qui fait peur ou plutôt ce que ça implique? En réalité, l’échec est une expérience. Et peu importe à quoi est relié l’échec en question, ça permet de mieux savoir ce que l’on veut faire, avoir ou être dans notre vie idéale.
Si c’est la sobriété émotive que tu veux, comme être en mesure de gérer tes émotions d’une façon saine, c’est d’abord de reconnaître qu’il y a place à l’amélioration dans ce domaine. Ça se peut que tu sois partie consommer ou dépenser 500$ que tu avais pas quand tu as appris une mauvaise nouvelle qui t’a rentrée dedans comme une tonne de brique. Ça se peut. Mais c’est quoi l’échec là-dedans? Avoir dépensé 500$ que tu n’avais pas ou le fait que tu te sois tapé sur la tête au point de penser que c’était mieux d’aller engourdir ça ?
L’échec. C’est relatif. Apprendre, c’est probablement le plus beau cadeau de chaque tentative de vivre mieux, de vivre une vie qui nous plait, loin des excès en tout genre, ceux qui “maganent” l’âme et qui détruisent tous nos espoirs. Tu décides pas toujours des échecs de ta vie, mais tu décides de te laisser ensevelir sous les remords. Et ça, c’est pas nécessaire. Ça fait gagner l’échec, et ça t’enfonce.
L’échec. C’est beau. L’échec c’est toi qui est en train devenir qui tu es supposé.e être. Peut-être pas comme tu avais prévu. Mais si tu persistes, l’échec va devenir une raison de plus de continuer à ne pas baisser les bras.
Et si l’échec faisait partie du processus, de la vie, de ta vie? Sans échec, y’a pas d’apprentissage. Sans échec, y’a pas de bonheur.
À MÉDITER!
Je nous souhaite des échecs qui nous éveillent.
Et je vous envoie plein de #soberlove aujourd’hui.
Éliane x